Ingénieur et physicien (diplômé de l'Université de Détroit), Dan Winter est une référence internationale dans l'étude — et la mise en évidence — des champs scalaires (ou ondes de torsion). (Voir ici la présentation du docteur Hervé Janecek.) Un domaine sensible et longtemps censuré — que le physicien allemand Konstantin Meyl s'évertue aussi à faire connaître — de la maîtrise duquel découle l'énergie libre à la Tesla et qui ouvre des applications thérapeutiques prodigieuses (régénération cellulaire, la jouvence au sens alchimique). Ces niveaux ultimes de réalité — car nous sommes situés là aux dimensions d'espace-temps de Planck — conduisent aussi à expliquer, en termes physiques et biochimiques, les états extatiques (Dan parle d'une « biology of bliss »), d'éveil et d'élévation de conscience, ainsi que l'activation corrélative de l'ADN. Dan Winter fut même l'un des pionniers dans l'étude de la cohérence cardiaque, cet état de plénitude et d'harmonie obtenu par une respiration régulière (principe même de la méditation à l'orientale).

​

​

​

 

 

 

 

 

​

Dan Winter propose ainsi une véritable « physique du Graal » : une lecture scientifique et technique rigoureuse, et aussi pertinente que cohérente, des processus ésotériques et alchimiques de guérison (de thérapie au sens fort) et d'élévation de conscience. Dépassant d'un pas léger les affligeantes apories de la physique officielle — comme les fameuses quatre "forces fondamentales" (gravitation, interaction électromagnétique, forces nucléaires faible et forte) — il montre qu'à l'échelle de Planck, le rayonnement électromagnétique n'est pas transversal et sinusoïdal (hertzien) mais longitudinal et spiral (scalaire) et allant plus vite que la lumière. Et cette logique n'est pas entropique (dispersion d'info et perte d'organisation) mais néguentropique (vectrice d'ordre et d'harmonie).

 

C'est d'ailleurs parce qu' « il n'a pas pu concevoir le rayonnement électromagnétique longitudinal, intrinsèquement superlumineux [ou supraluminique : plus rapide que la lumière], que Einstein fut incapable de dire pourquoi les objets tombent au sol, l'accélération de fréquence en mode longitudinal à l'échelle de Planck étant ce qui explique la gravité ». De cette frappante carence d'imagination conceptuelle chez un tel prodige de la science, a découlé le dogme inepte d'une vitesse de la lumière indépassable, dans lequel continue à patauger la science officielle (nonobstant les nombreuses preuves expérimentales d'ondes superlumineuses). Inutile, néanmoins, conclut Winter, de vouloir « convaincre les physiciens mainstream de leur stupidité » : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif, et pendant que les chiens aboient, la caravane passe. Plus d'explications ici.